Renata Adler – Hors-Bord
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Céline Lero
Éditions de l’Olivier
Prix : 22 € – ISBN : 9782823602067 – Parution : 9 janvier 2014 – 252 pages
www.editionsdelolivier.fr

« Je travaille pour la presse à scandale, au Standard Evening Sun. Depuis que j’ai ce boulot, je suis sortie avec quatre fils de célébrités, deux hommes d’affaires auteurs de romans inachevés, trois écrivains qui avaient la manie de me demander « Ça te dérange si je m’en sers dans mon livre ? » chaque fois que je faisais une remarque qui leur paraissait typique. (…) Les choses ont beaucoup changé, même plusieurs fois depuis mon enfance et, comme tout le monde à New York, exceptés les intellectuels, j’ai vécu plusieurs vies et continue d’en vivre certaines. »

Renata Adler - Hord-Bord

 

Jen Fain, une jeune journaliste new yorkaise, entreprend de raconter les petits et les grands événements de sa vie. Au fil de son récit s’égrènent souvenirs, faits divers, portraits de ses contemporains : une vieille dame terrorise les passagers d’un avion, une famille trinque en l’honneur du Dow Jones, et les femmes prennent des amants imaginaires…

Autant d’instantanés photographiques où vient se réfléchir l’Amérique des années 70 en plein contrecoup de l’euphorie des sixties. Ce sont ces émotions de pensée que capture Renata Adler.

Ce roman est une grisante découverte, un roman sans début, ni fin, sans véritable trame narrative, un kaléidoscope de saynètes, de croquis, de choses vues ou rêvées qui constitue un échantillon préservé de l’atmosphère des seventies. Assemblés selon une logique poétique très personnelle, fondée sur l’ellipse, le contre-pied et un sens certain de l’absurde, les centaines de fragments qui composent Hors-bord dessinent le portrait mouvant, ironique et plus qu’attachant d’une génération de bonne volonté, aimable et désorientée, étourdie, voire égarée, dans un monde privé de centre et de sens. (Télérama)


n faisant aujourd’hui paraître en traduction le premier des deux, sous le titre Hors-bord, les éditions de l’Olivier offrent aux amateurs de curiosités littéraires affûtés une grisante découverte : un curieux roman sans début ni fin, sans vraie trame narrative, sorte de kaléidoscope de saynètes, de croquis, de choses vues ou rêvées, qui constitue comme un échantillon préservé de l’atmosphère des seventies. Assemblés selon une logique poétique très personnelle, fondée sur l’ellipse, le contre-pied et un sens certain de l’absurde, les centaines de fragments qui composent Hors-bord dessinent le portrait mouvant, ironique et plus qu’attachant d’une génération de bonne volonté, aimable et désorientée, étourdie, voire égarée, dans un monde privé de centre et de sens.
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/hors-bord,106982.php#e8rAU01kVIgXyrTJ.99
n faisant aujourd’hui paraître en traduction le premier des deux, sous le titre Hors-bord, les éditions de l’Olivier offrent aux amateurs de curiosités littéraires affûtés une grisante découverte : un curieux roman sans début ni fin, sans vraie trame narrative, sorte de kaléidoscope de saynètes, de croquis, de choses vues ou rêvées, qui constitue comme un échantillon préservé de l’atmosphère des seventies. Assemblés selon une logique poétique très personnelle, fondée sur l’ellipse, le contre-pied et un sens certain de l’absurde, les centaines de fragments qui composent Hors-bord dessinent le portrait mouvant, ironique et plus qu’attachant d’une génération de bonne volonté, aimable et désorientée, étourdie, voire égarée, dans un monde privé de centre et de sens.
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/hors-bord,106982.php#e8rAU01kVIgXyrTJ.99
n faisant aujourd’hui paraître en traduction le premier des deux, sous le titre Hors-bord, les éditions de l’Olivier offrent aux amateurs de curiosités littéraires affûtés une grisante découverte : un curieux roman sans début ni fin, sans vraie trame narrative, sorte de kaléidoscope de saynètes, de croquis, de choses vues ou rêvées, qui constitue comme un échantillon préservé de l’atmosphère des seventies. Assemblés selon une logique poétique très personnelle, fondée sur l’ellipse, le contre-pied et un sens certain de l’absurde, les centaines de fragments qui composent Hors-bord dessinent le portrait mouvant, ironique et plus qu’attachant d’une génération de bonne volonté, aimable et désorientée, étourdie, voire égarée, dans un monde privé de centre et de sens.
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/hors-bord,106982.php#e8rAU01kVIgXyrTJ.99