Jonathan Trooper – Une dernière chose avant de partir
traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Christine Barbaste
Editions 10-18
Prix : 8,10 € – ISBN : 978-2-264-06097-6 – Parution : 7 mai 2014 – 356 pages
Drew Silver n’a pas toujours fait les bons choix. Sa gloire éphémère de batteur dans un groupe de rock – qu’un seul et unique tube a propulsé brièvement aux sommets des charts – remonte à près de dix ans. Aujourd’hui, il vit au Versailles, une résidence qui accueille des divorcés un peu paumés, comme lui. Pour gagner sa vie, il a intégré un orchestre spécialisé dans les cérémonies de mariages. Son ex-femme, Denise, est sur le point de se remarier. Et Casey, sa fille qui s’apprête à intégrer Princeton, vient de lui confier qu’elle est enceinte – et ce uniquement parce que de ses deux parents, Silver est celui qu’elle répugne le moins à décevoir. Lorsqu’il apprend que sa vie ne tient plus qu’à un fil et que seule une opération peut le sauver, Silver prend une décision radicale : il refuse l’intervention. Le peu de temps qui lui reste à vivre, il veut le consacrer à renouer avec Casey, à devenir un homme meilleur. Pendant que, sous le regard de sa famille au comble de l’exaspération, Silver bataille ferme avec cette question existentielle, chacun se démène pour recoller les morceaux de cette famille désunie, au risque de l’abîmer davantage encore…
Jonathan Tropper est né et a grandi à Riverdale, dans l’État de New York. Son premier roman, Plan B, a paru aux États-Unis en 2001. Il a écrit par la suite Le Livre de Joe, Tout peut arriver, Perte et fracas et C’est ici que l’on se quitte, tous parus au Fleuve Noir. Ces romans sont aujourd’hui traduits dans plus de 20 langues et leur auteur est sans cesse courtisé par les studios de cinéma. Jonathan Tropper vit à Westchester (New-York).