Qiu Xialong – Dragon bleu, tigre blanc
Traduit par Adélaïde Pralon
Editions Points
Prix : 7,40 € – ISBN : 978-2-757-852118 – Parution 21 mai 2015 – 329 pages
Stupeur à la brigade des affaires spéciale de la police de Shanghai. Sous couvert d’une promotion ronflante, l’inspecteur Chen est démis de ses fonctions. Après tant d’enquêtes menées contre les intérêts du pouvoir, pas étonnant qu’on veuille sa peau. Forcé d’agir à distance, inquiet pour sa vie, Chen affronte l’affaire la plus délicate de sa carrière tandis qu’à la tête de la ville, un ambitieux prince rouge et son épouse incarnent le renouveau communiste. Alors que dans les rues résonnent les vieux chants révolutionnaires, ambition et corruption se déclinent plus que jamais au présent. Avec une amère lucidité, Qiu Xiaolong réinterprète à sa manière le scandale Bo Xilai qui secoua la Chine en 2013.
Qiu Xiaolong naît à Shanghai en 1953. Durant la Révolution culturelle, son père est la cible des Gardes rouges et lui-même est interdit d’école. Il apprend seul l’anglais, se passionne pour la littérature anglo-américaine et en particulier pour l’oeuvre de T S Eliot. Il poursuit ses recherches à Saint-Louis, aux Etats-Unis, et décide de s’y installer après les événements de Tian’anmen. Il est l’auteur des nouvelles du cycle de la Poussière Rouge et de neuf romans policiers. Ses livres se sont déjà vendus à plus de un million d’exemplaires à travers le monde.