Stéphanie Barron – Le jardin blanc
traduit par Isabelle D. Philippe
Editions 10-18
Prix : 7,90 € – ISBN : 978-2264064363 – parution : 14 octobre 2015 – 375 pages
En octobre 2008, Jo Bellamy, jeune paysagiste américaine, arrive à Sissinghurst, dans le Kent, pour étudier le célèbre jardin blanc créé par l’amie de Virginia Woolf, Vita Sackville-West. Un jour après l’annonce de son départ, son grand-père Jock, d’origine britannique, se suicide. Jo découvre qu’il avait lui-même travaillé dans ce jardin pendant la Seconde Guerre mondiale et décide de profiter de son voyage pour comprendre son geste. À Sissinghurst, Jo découvre par hasard un journal intime parmi les archives des jardiniers. L’étiquette porte le nom de son grand-père, mais, en le déchiffrant, elle doit se rendre à l’évidence : ce journal n’est pas le sien. Soupçonnant son auteur d’être Virginia Woolf, elle file le faire expertiser chez Sotheby’s. Là, on lui concède que le style et les thèmes rappellent en effet Woolf… à un détail près : les dates. Le 28 mars 1941, Virginia a rempli ses poches de pierres avant d’aller se noyer dans l’Ouse. Or le journal commence le 29. Des détails du journal amènent Jo à pousser plus loin cette idée : et si Virginia Woolf ne s’était pas suicidée ? Si on l’avait tuée ?
Ex-journaliste et ex-membre de la CIA, Stephanie Barron est l’auteure de onze romans policiers mettant en scène Jane Austen.