Garth Risk Hallberg – City on fire
traduit par Elisabeth Peelaert
Editions Plon
Prix ISBNn Parution : 14 janvier 2016 – pages
31 décembre 1976. New York se prépare pour le réveillon. Chez les Hamilton-Sweeney, Felicia accueille financiers et mondains tandis qu’à l’autre bout de la ville, dans le Lower East Side, Charlie attend Samantha pour assister à un concert punk. À quelques encablures de là, dans Hell’s Kitchen, Mercer Goodman tourne et retourne un délicat carton d’invitation. Et s’il se rendait à la réception des Hamilton-Sweeney pour retrouver Regan, cette sœur que William, son amant, lui a toujours cachée ? Pourquoi ne pas saisir l’occasion d’en apprendre plus sur lui, l’ancien leader du groupe punk Ex Post Facto ? Bientôt, des coups de feu retentissent dans Central Park. Une ombre s’écroule dans la neige.
Qu’est-ce qui peut bien relier ces personnages à ce drame ? Alors que rien ne les prédestinait à se rencontrer, leurs histoires ne vont cesser de se croiser et de s’entremêler jusqu’au blackout du 13 juillet 1977. Une immense coupure de courant plonge alors New York dans le noir. Leurs vies en seront bouleversées à jamais…
City on Fire est une ode à New York, un roman flamboyant et inoubliable sur l’amour, la trahison et le pardon, sur l’art, la vérité et le rock, et sur cette interrogation : qu’est-ce qui rend la vie digne d’être vécue ?
Une presse dithyrambique !
» Un roman brillant qui enveloppe une ville entière d’amants et d’ambitieux, de saints et d’assassins. « The Washington Post
» Une épopée épique sur la condition humaine à la fois ambitieuse et sublime. » Vanity Fair
» Un roman à l’ambition étonnante et à la force stupéfiante. » The New York Times
» Un roman électrisant qui fait revivre le Manhattan brut des années 70. Comme une version punk de « La Maison d’âpre-vents » de Dickens. » Vogue
» Un grand roman éblouissant. » The New York Times
» Garth Risk Hallberg signe un premier roman à l’ambition vertigineuse. » The Economist