Emmi Itäranta – La cité des méduses
traduit par Martin Carayol
Editions Presses de la Cité
Prix : 20 € – ISBN : 978-2258107984 – Parution : 12 janvier 2017 –  358 pages

 » Je rêve encore de l’île. Parfois je m’en approche par les eaux, mais le plus souvent par la voie des airs, comme un oiseau, le grand vent sous mes ailes.  »
Sur une île sans nom où les vies humaines ont peu de poids, Eliana est une citoyenne modèle, tisseuse au prestigieux palais des Toiles. Elle est pourtant née avec une tare indicible : elle peut rêver. Le quotidien des tisseuses est bientôt perturbé par la venue d’une jeune femme à la langue coupée. Analphabète, cette dernière se trouve incapable d’expliquer ce qui lui est arrivé ou d’où elle vient. Le seul indice semble être le prénom tatouée sur sa main : « Eliana « .


Eliana se découvre une connexion inexplicable avec l’inconnue et toutes deux développent une amitié qui va au-delà des mots. Très vite, les deux femmes deviennent la cible de forces décidées à les exterminer, Eliana doit alors faire appel à ce don qu’elle a toujours considéré comme une malédiction : ses rêves.